Maison passive, basse énergie, zéro énergie, quelles différences ?
Conformément à une directive européenne, les différents pays ont élaboré une réglementation en matière de Performance énergétique et de climat intérieur des bâtiments.
Cette législation concerne toutes les constructions neuves ainsi que les rénovations de grande ampleur.
Cela signifie que tous les nouveaux bâtiments doivent atteindre un certain niveau d’isolation thermique et de prestation énergétique.
Pour plus d’informations :
Directive Européenne 2002/91/CE sur la Performance Énergétique des Bâtiments
Maison basse énergie
Dans cet habitat, toutes les mesures ont été prises pour que la consommation d’énergie soit la plus basse possible : une isolation épaisse, ainsi qu’un chauffage, une production d’eau chaude et une ventilation peu énergivores...
On parle d’habitation basse énergie lorsque la consommation d’énergie pour le chauffage ne dépasse pas 60 kWh/m2 de superficie au sol/an, voire même 50 kWh/m2 de superficie au sol/an.
Dans une maison basse énergie, la consommation se situe entre 50 et 60 % en dessous du niveau atteint par une maison classique.
Maison passive
Cet habitat est isolé à un point tel qu’un chauffage classique est superflu.
C’est un investissement lourd au départ : triple vitrage avec une menuiserie particulière, une excellente étanchéité, une ventilation qui chauffe l’air frais amené de l’extérieur...
Cette maison est exclusivement chauffée par l’énergie solaire et la chaleur produite par ses occupants, leurs activités (faire la cuisine par exemple) et les appareils qui se trouvent dans la maison.
Le résultat est une maison qui en termes de chauffage ne consomme que 10 à 15 % d’énergie par rapport à une maison classique.
La maison zéro énergie
Une maison zéro-énergie est une maison qui est autonome au niveau énergique, c’est à dire qu’elle autoproduit ses besoins en chauffage mais également ses besoins en électricité.
Une maison peut être zéro-énergie sur un bilan annuel et n’être pas en pratique totalement autonome tout le temps : elle produit alors un surplus d’énergie l’été qu’elle exporte sur un ou des réseaux, et consomme plus qu’elle ne produit l’hiver.
Conformément à une directive européenne, les différents pays ont élaboré une réglementation en matière de Performance énergétique et de climat intérieur des bâtiments.
Cette législation concerne toutes les constructions neuves ainsi que les rénovations de grande ampleur.
Cela signifie que tous les nouveaux bâtiments doivent atteindre un certain niveau d’isolation thermique et de prestation énergétique.
Pour plus d’informations :
Directive Européenne 2002/91/CE sur la Performance Énergétique des Bâtiments
Maison basse énergie
Dans cet habitat, toutes les mesures ont été prises pour que la consommation d’énergie soit la plus basse possible : une isolation épaisse, ainsi qu’un chauffage, une production d’eau chaude et une ventilation peu énergivores...
On parle d’habitation basse énergie lorsque la consommation d’énergie pour le chauffage ne dépasse pas 60 kWh/m2 de superficie au sol/an, voire même 50 kWh/m2 de superficie au sol/an.
Dans une maison basse énergie, la consommation se situe entre 50 et 60 % en dessous du niveau atteint par une maison classique.
Maison passive
Cet habitat est isolé à un point tel qu’un chauffage classique est superflu.
C’est un investissement lourd au départ : triple vitrage avec une menuiserie particulière, une excellente étanchéité, une ventilation qui chauffe l’air frais amené de l’extérieur...
Cette maison est exclusivement chauffée par l’énergie solaire et la chaleur produite par ses occupants, leurs activités (faire la cuisine par exemple) et les appareils qui se trouvent dans la maison.
Le résultat est une maison qui en termes de chauffage ne consomme que 10 à 15 % d’énergie par rapport à une maison classique.
La maison zéro énergie
Une maison zéro-énergie est une maison qui est autonome au niveau énergique, c’est à dire qu’elle autoproduit ses besoins en chauffage mais également ses besoins en électricité.
Une maison peut être zéro-énergie sur un bilan annuel et n’être pas en pratique totalement autonome tout le temps : elle produit alors un surplus d’énergie l’été qu’elle exporte sur un ou des réseaux, et consomme plus qu’elle ne produit l’hiver.