Au restaurant «The Last Supper» son directeur Gregory Jeandeau vient de présenter la nouvelle carte d'été. A l’exception du coeur de filet de boeuf poêlé, tomates confites, roquette, parmesan et jus d’olives noires kalamanta – le grand classique de la maison –, la carte est pleine de nouveautés gourmandes.
Au «The Last Supper», comme dans toutes les autres enseignes de NL Group administrées par Nico Lanter, toute l’attention est portée sur la gastronomie, la création et le design en faisant appel à des architectes de renommée mondiale tel que Miguel Cancio, créateur du «Buddha Bar» ou du «Man Ray» à Paris. Au «The Last Supper», on pénètre dans une ambiance singulière, feutrée et enveloppante où «La Cène» de Léonardo Da Vinci est représentée sur un mode graphique.
Avec ses 21 ans de métier Gregory Jeandeau, un ancien des écoles hôtelières de Metz et de Strasbourg, n’est pas un inconnu au Luxembourg. Efficace et très attentif au bien-être de ses hôtes, son souci permanent est la qualité. Quant au chef, il s’agit d'Emmanuel Mauboussin, originaire d’Angers, qui a fait ses armes dans l’ouest de la France près de sa région d’origine pour rejoindre le Grand-Duché. Une des étapes de son parcours au Luxembourg était le restaurant «Chiggeri» où il était pendant six ans aux fours. Depuis début 2010, il tient les baguettes du «The Last Supper». Il a mis au point une carte conceptionnelle, où c’est avant tout le produit qui trouve toute sa noblesse. Ses créations témoignent d'une cuisine fine et créative aux influences provençales et d’épices surtout asiatiques. Il est épaulé par Vincent Collé, chef pâtissier, qui pour sa part a façonné une carte originale en desserts. Utilisant des produits de saison, il aime varier les textures et réussit parfaitement de marier le souple et le croustillant, pour retrouver l’essence des saveurs. Contraire à des cartes, où l’accent est plutôt mis sur des intitulés plus alambiques, «The Last Supper» met la valeur sur le produit.
Sous la rubrique entrées, des sept succulentes suggestions, retenons avant tout le saumon coeur en gravaux façon Orloff au concombre et betterave, pétales d’oignons rouges au poivre noir et orange, un plat qui souligne la créativité au chef. Du côté poissons, la lotte et le maquereau font leurs entrée. Rôti, barigoule d’artichauts violets à l’huile d’olive Planeta et zestes de citron jaune au persil arabe, Emmanuel Maubouissin témoigne avec son élaboration la noblesse du rouget barbet. Parmi les quatre plats viande, le boeuf continue à jouir de son succès mais aussi le filet d’agneau rôti aux herbes aromatiques est sans doute un enrichissement pour la nouvelle carte aux saveurs d’été. Reste à recommander vivement le friand filet de canard aux girolles, noisettes et compression d’une pomme de terre, jus gras est une suggestion où le chef confirme son savoir faire. En composant sa carte, Emmanuel Maubouisson n’a pas oublié les végétariens. Sur la carte de vins riche en propositions répertorie également des excellents crus de la Moselle luxembourgeoise.
«The Last Supper» propose à midi différentes formules, soit un plat, un plat avec dessert ou entrée ou un menu complet. La formule «Da Vinci» à midi et en soirée se compose d’une entrée, d’un plat et d’un dessert.
Le restaurant est fermé le samedi à midi et le dimanche. (GF)
Restaurant Lounge Bar «The Last Supper»
33, avenue John F. Kennedy
L-1855 Luxembourg-Kirchberg
Tél.: 27 04 54
www.thelastsupper.lu
Au «The Last Supper», comme dans toutes les autres enseignes de NL Group administrées par Nico Lanter, toute l’attention est portée sur la gastronomie, la création et le design en faisant appel à des architectes de renommée mondiale tel que Miguel Cancio, créateur du «Buddha Bar» ou du «Man Ray» à Paris. Au «The Last Supper», on pénètre dans une ambiance singulière, feutrée et enveloppante où «La Cène» de Léonardo Da Vinci est représentée sur un mode graphique.
Avec ses 21 ans de métier Gregory Jeandeau, un ancien des écoles hôtelières de Metz et de Strasbourg, n’est pas un inconnu au Luxembourg. Efficace et très attentif au bien-être de ses hôtes, son souci permanent est la qualité. Quant au chef, il s’agit d'Emmanuel Mauboussin, originaire d’Angers, qui a fait ses armes dans l’ouest de la France près de sa région d’origine pour rejoindre le Grand-Duché. Une des étapes de son parcours au Luxembourg était le restaurant «Chiggeri» où il était pendant six ans aux fours. Depuis début 2010, il tient les baguettes du «The Last Supper». Il a mis au point une carte conceptionnelle, où c’est avant tout le produit qui trouve toute sa noblesse. Ses créations témoignent d'une cuisine fine et créative aux influences provençales et d’épices surtout asiatiques. Il est épaulé par Vincent Collé, chef pâtissier, qui pour sa part a façonné une carte originale en desserts. Utilisant des produits de saison, il aime varier les textures et réussit parfaitement de marier le souple et le croustillant, pour retrouver l’essence des saveurs. Contraire à des cartes, où l’accent est plutôt mis sur des intitulés plus alambiques, «The Last Supper» met la valeur sur le produit.
Sous la rubrique entrées, des sept succulentes suggestions, retenons avant tout le saumon coeur en gravaux façon Orloff au concombre et betterave, pétales d’oignons rouges au poivre noir et orange, un plat qui souligne la créativité au chef. Du côté poissons, la lotte et le maquereau font leurs entrée. Rôti, barigoule d’artichauts violets à l’huile d’olive Planeta et zestes de citron jaune au persil arabe, Emmanuel Maubouissin témoigne avec son élaboration la noblesse du rouget barbet. Parmi les quatre plats viande, le boeuf continue à jouir de son succès mais aussi le filet d’agneau rôti aux herbes aromatiques est sans doute un enrichissement pour la nouvelle carte aux saveurs d’été. Reste à recommander vivement le friand filet de canard aux girolles, noisettes et compression d’une pomme de terre, jus gras est une suggestion où le chef confirme son savoir faire. En composant sa carte, Emmanuel Maubouisson n’a pas oublié les végétariens. Sur la carte de vins riche en propositions répertorie également des excellents crus de la Moselle luxembourgeoise.
«The Last Supper» propose à midi différentes formules, soit un plat, un plat avec dessert ou entrée ou un menu complet. La formule «Da Vinci» à midi et en soirée se compose d’une entrée, d’un plat et d’un dessert.
Le restaurant est fermé le samedi à midi et le dimanche. (GF)
Restaurant Lounge Bar «The Last Supper»
33, avenue John F. Kennedy
L-1855 Luxembourg-Kirchberg
Tél.: 27 04 54
www.thelastsupper.lu