VERNISSAGE DU SYMPOSIUM DE LA SCULPTURE . (FOTOEN)
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Déi ganz lescht Woch konnt een nieft dem Bësch an Ëmweltzenter 3 Kënschtler nokucken beim erschaffen vun hiren Skulpturen.
Et waren : d´Judith FRANKE ,den Alain DONY an den Umberto RIGHERO .
Haut op dem Samschdeg war de Vernissage. Et konnt een déi fäerdeg Skulpturen bewonneren.
Et ass deenen 3 Kënschtler ganz gutt gelongen.
Der Judith FRANKE hirt Skulptur dret den Titel : "Das gebrochene Herz" ,
dem Alain DONY seng : "Le Gardien triste"
an dem Umberto RIGHERO seng: " Il n´y a pas de travail pour Pierrot "
Am laf vun den nächste Woche kréien déi eenzel Skulpturen hir definitiv Platz an der Uertschaft Luerenzweiler .
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Umberto RIGHERO
Umberto Righero est né en 1951 en Italie. Alors qu’il a surtout travaillé dans l’enseignement il sculpte depuis 1980. De son travail et de lui-même : Je suis une personne agitée par nature et donc dans la vie. J’ai toujours eu du mal à trouver un endroit stable et j’ai évité de m’adapter aux stéréotypes dans une recherche permanente d’un «quelque chose» qui pourrait pleinement me satisfaire. J’ai exploré de nombreux domaines de travail avec beaucoup de passion (de la littérature à la musique, de la mécanique à la chimie, de l’enseignement de la science à l’art) dans toutes leurs facettes, jusqu’à l’épuisement de leur potentiel ou de ma capacité. Toute zone que j’ai exploré m’a enrichie. Il est difficile de trouver un chemin linéaire dans les formes ou dans le choix des matériaux ou des techniques de mes oeuvres. Le dénominateur commun est la recherche constante de nouveaux moyens d’expression toute en essayant de parvenir à un résultat esthétique. Umberto Righero à participé à des symposiums et concours à Torino, Recoaro, Belluno, Macugnaga, Varallo Sesia (1° prix), Rivoli, Giaveno (1°prix), Trento (ITALY), Fourneaux Saint Michel (1° prix) BELGIQUE , La Bresse (FRANCE) , Domazlice (REPUPLIQUE TCHEQUE). CECA (CZ) et à Stone Town Zanzibar/TANSANIA. Ses oeuvres sont présentes dans des expositions permanentes à Domazlice ( Stary Klikov)-en République tchèque et à Fourneaux St. Michel en Belgique La sculpture qu’il a présentée pour le symposium à Lorentzweiler est intitulée: “Il n’y a pas plus de travail pour Pierrot” Pour plus d’information sur l’artiste visitez son site internet : www.umbertorighero.com
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Alain DONY
L’Art est une illusion d’éternité dans une réalité d’illusions. Alain Dony, né en 1959 à Troyes, diplômé des arts graphiques en 1978, a été primé en peinture à l’huile au salon de la Société artistique de l’Aube en 1985. En 1987, il a fondé l’édition Co-Temporaire (regroupement d’artistes de divers horizons) et est depuis le responsable des éditions et manifestations de cette société. Pour lui, « la peinture est un alimentaire ludique qui [lui] permet de sculpter ». Aussi à l’aise dans la miniature que dans le gigantesque (qu’il affectionne particulièrement), il prépare des expositions, un jardin et des manifestations artistiques avec ses collègues (un réseau international d’ateliers et d’artistes). Ainsi il a organisé des symposiums de sculptures à La Rochelle et a participé à de nombreux symposiums internationaux. Il a étudié des méthodes africaines de la sculpture sur bois et bronze en Côte-d’Ivoire. Ces oeuvres ont été exposées à Dijon, Troyes, La Rochelle, Limoges, Reims, Albi, Montpellier, Poitiers, Angoulême, Château d’Oléron, Maison de la culture de Landreville et Paris ainsi qu’à Dublin (Irlande), Tortosa (Espagne) et Miami (Floride) De sa sculpture il dit : «Le Gardien triste» est dans la continuité de mon travail actuel. Je prépare une installation de personnages dans cet esprit symbolisant «les gardiens», sages détenant la connaissance d’une civilisation, frères d’une culture disparue peut-être. Ce qui m’intéresse est la présence qu’ils dégagent seul mais surtout en groupe.
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Judith FRANKE
Judith Franke wurde 1977 in Lobenstein Thüringen geboren und lebt zurzeit in Wurzbach / Thüringen als freie Bildhauerin. In ihre umfangreichen Studien hat sie u.a. das Korbmacherhandwerk (Lichtenfels) sowie das Bildhauerhandwerk (Oberammergau) erlernt und ist im Besitz eines Fachabiturs für Gestaltung der Walter-Gropius Schule in Erfurt. Seit 2008 nimmt sie regelmäßig an Bildhauersymposien in Deutschland und der Schweiz teil. Sie zeigt ihre Werke in vielen Gruppen- und Einzelausstellungen einem breitem Publikum. Sie ist Mitglied der „Lebenden Werkstätte“ Oberammergau mit Dauerausstellung, sowie des „SculpturNetwork“ und dem Kunstverein Coburg Über sich und ihre Arbeit schreibt sie: Die vielen Eindrücke, Gefühle, Menschen, Gedanken, kleinen und großen Abenteuer des Lebens. Die Leidenschaft und Liebe zur Arbeit mit der Hand, zum Material, der Gestaltung und Form. Offenheit und Neugier, Träume und etwas Naivität. Mut, Energie, Geduld, Fleiß, Fantasie und die Treue zu sich selbst. Das ist meine Arbeit! Die Skulptur von Judith Franke trägt den Titel «Das gebrochene Herz» und handelt von Liebeskummer: Ich rauche eine Zigarette nach der anderen, lasse mich berauschen von der Musik im Radio, irgendwie kommen heute nur traurige Lieder, Lieder von unglücklicher Liebe, von Vermissen und Stille. Nichts hilft. Es regnet ins Herz. Ich sitze hier und warte, auf was? Auf dich? Aber du kommst nicht mehr. Niemand kommt und holt mich da raus und draußen tanzt das Leben weiter. Ich wollte so gern weiter an deiner Hand gehen. Was bleibt ist Sehnsucht und ein gebrochenes Herz. www.judithfranke-skulpturen.com
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Fotoen : STEYER – FONCK ALICE
© copyright
Et waren : d´Judith FRANKE ,den Alain DONY an den Umberto RIGHERO .
Haut op dem Samschdeg war de Vernissage. Et konnt een déi fäerdeg Skulpturen bewonneren.
Et ass deenen 3 Kënschtler ganz gutt gelongen.
Der Judith FRANKE hirt Skulptur dret den Titel : "Das gebrochene Herz" ,
dem Alain DONY seng : "Le Gardien triste"
an dem Umberto RIGHERO seng: " Il n´y a pas de travail pour Pierrot "
Am laf vun den nächste Woche kréien déi eenzel Skulpturen hir definitiv Platz an der Uertschaft Luerenzweiler .
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Umberto RIGHERO
Umberto Righero est né en 1951 en Italie. Alors qu’il a surtout travaillé dans l’enseignement il sculpte depuis 1980. De son travail et de lui-même : Je suis une personne agitée par nature et donc dans la vie. J’ai toujours eu du mal à trouver un endroit stable et j’ai évité de m’adapter aux stéréotypes dans une recherche permanente d’un «quelque chose» qui pourrait pleinement me satisfaire. J’ai exploré de nombreux domaines de travail avec beaucoup de passion (de la littérature à la musique, de la mécanique à la chimie, de l’enseignement de la science à l’art) dans toutes leurs facettes, jusqu’à l’épuisement de leur potentiel ou de ma capacité. Toute zone que j’ai exploré m’a enrichie. Il est difficile de trouver un chemin linéaire dans les formes ou dans le choix des matériaux ou des techniques de mes oeuvres. Le dénominateur commun est la recherche constante de nouveaux moyens d’expression toute en essayant de parvenir à un résultat esthétique. Umberto Righero à participé à des symposiums et concours à Torino, Recoaro, Belluno, Macugnaga, Varallo Sesia (1° prix), Rivoli, Giaveno (1°prix), Trento (ITALY), Fourneaux Saint Michel (1° prix) BELGIQUE , La Bresse (FRANCE) , Domazlice (REPUPLIQUE TCHEQUE). CECA (CZ) et à Stone Town Zanzibar/TANSANIA. Ses oeuvres sont présentes dans des expositions permanentes à Domazlice ( Stary Klikov)-en République tchèque et à Fourneaux St. Michel en Belgique La sculpture qu’il a présentée pour le symposium à Lorentzweiler est intitulée: “Il n’y a pas plus de travail pour Pierrot” Pour plus d’information sur l’artiste visitez son site internet : www.umbertorighero.com
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Alain DONY
L’Art est une illusion d’éternité dans une réalité d’illusions. Alain Dony, né en 1959 à Troyes, diplômé des arts graphiques en 1978, a été primé en peinture à l’huile au salon de la Société artistique de l’Aube en 1985. En 1987, il a fondé l’édition Co-Temporaire (regroupement d’artistes de divers horizons) et est depuis le responsable des éditions et manifestations de cette société. Pour lui, « la peinture est un alimentaire ludique qui [lui] permet de sculpter ». Aussi à l’aise dans la miniature que dans le gigantesque (qu’il affectionne particulièrement), il prépare des expositions, un jardin et des manifestations artistiques avec ses collègues (un réseau international d’ateliers et d’artistes). Ainsi il a organisé des symposiums de sculptures à La Rochelle et a participé à de nombreux symposiums internationaux. Il a étudié des méthodes africaines de la sculpture sur bois et bronze en Côte-d’Ivoire. Ces oeuvres ont été exposées à Dijon, Troyes, La Rochelle, Limoges, Reims, Albi, Montpellier, Poitiers, Angoulême, Château d’Oléron, Maison de la culture de Landreville et Paris ainsi qu’à Dublin (Irlande), Tortosa (Espagne) et Miami (Floride) De sa sculpture il dit : «Le Gardien triste» est dans la continuité de mon travail actuel. Je prépare une installation de personnages dans cet esprit symbolisant «les gardiens», sages détenant la connaissance d’une civilisation, frères d’une culture disparue peut-être. Ce qui m’intéresse est la présence qu’ils dégagent seul mais surtout en groupe.
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Judith FRANKE
Judith Franke wurde 1977 in Lobenstein Thüringen geboren und lebt zurzeit in Wurzbach / Thüringen als freie Bildhauerin. In ihre umfangreichen Studien hat sie u.a. das Korbmacherhandwerk (Lichtenfels) sowie das Bildhauerhandwerk (Oberammergau) erlernt und ist im Besitz eines Fachabiturs für Gestaltung der Walter-Gropius Schule in Erfurt. Seit 2008 nimmt sie regelmäßig an Bildhauersymposien in Deutschland und der Schweiz teil. Sie zeigt ihre Werke in vielen Gruppen- und Einzelausstellungen einem breitem Publikum. Sie ist Mitglied der „Lebenden Werkstätte“ Oberammergau mit Dauerausstellung, sowie des „SculpturNetwork“ und dem Kunstverein Coburg Über sich und ihre Arbeit schreibt sie: Die vielen Eindrücke, Gefühle, Menschen, Gedanken, kleinen und großen Abenteuer des Lebens. Die Leidenschaft und Liebe zur Arbeit mit der Hand, zum Material, der Gestaltung und Form. Offenheit und Neugier, Träume und etwas Naivität. Mut, Energie, Geduld, Fleiß, Fantasie und die Treue zu sich selbst. Das ist meine Arbeit! Die Skulptur von Judith Franke trägt den Titel «Das gebrochene Herz» und handelt von Liebeskummer: Ich rauche eine Zigarette nach der anderen, lasse mich berauschen von der Musik im Radio, irgendwie kommen heute nur traurige Lieder, Lieder von unglücklicher Liebe, von Vermissen und Stille. Nichts hilft. Es regnet ins Herz. Ich sitze hier und warte, auf was? Auf dich? Aber du kommst nicht mehr. Niemand kommt und holt mich da raus und draußen tanzt das Leben weiter. Ich wollte so gern weiter an deiner Hand gehen. Was bleibt ist Sehnsucht und ein gebrochenes Herz. www.judithfranke-skulpturen.com
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Fotoen : STEYER – FONCK ALICE
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